Notre histoire

Maître Olivier, Directeur de l'ESSEC, demande à l'étudiant Stéphane André, ancien bègue devenu un comédien assidu, de donner un cours de prise de parole en public. Et si les lois du théâtre s'appliquaient en entreprise ? C'est le début d'un chemin de recherche empirique.

L'entreprise Peugeot nous pose la question : "Comment laisser s’exprimer les antagonismes sans arriver à un conflit ?". L’Art Oratoire permet de démontrer qu’un bon débatteur est avant tout un bon orateur, grâce à la saine confrontation des idées en groupe, en réunion et dans le débat.

Le cabinet Cap Gémini nous amène à tester l’Art Oratoire dans les négociations. Nous réalisons que son efficacité est redoutable. Nous rejoignons les modèles de négociation raisonnée qui ont fait leurs preuves, sans les connaitre au départ !

Le CODIR de La Poste, les DRH et chefs de projet de France Télécom Orange, les Partners de Bearing Point, les officiers de L'École de Guerre... Avec eux, nous approfondissons l’art du leadership : un bon orateur est un bon leader car il donne au public qu’il manage ou dirige, l’envie d’aller dans le sens de ses idées.

1er boom oratoire : les particuliers souhaitent s'inscrire à nos formations ! Qu'à cela ne tienne, nous créons nos séminaires interentreprises, ouverts à tous, dans notre École de l'Art Oratoire à Paris, d'abord dans le 9è, puis dans le 8è, et ensuite à Bordeaux.

2ème boom oratoire : le tsunami digital lié à la crise sanitaire. La communication digitale requiert de muscler sa crédibilité et son efficacité oratoire devant une caméra. Et 3ème boom oratoire : l'impératif besoin de synthèse que requiert le pitch.

Notre recherche se poursuit grâce à nos clients et à la marche du monde. Après “Le secret des orateurs” et “L'art du leadership”, paraît le 3è livre de Stéphane André, "L'éloquence naturelle - vers des organisations sans conflits” qui introduit la notion d'écologie sociale, finalité de notre enseignement.